Juste un blog de mamie !

Depuis une quinzaine de jours, deux nouvelles habitantes sont venues nous tenir compagnie ! Il s'agit de Plume et de Myrtille, deux jeunes poules soie, l'une blanche et l'autre noire. Ce sont deux petites cocottes adorables, accueillies avec grand enthousiasme par Valentin et Tom ! Il faut dire qu'elles ressemblent à deux petits nuages ébouriffés, avec une houppe rigolote sur la tête et un plumage semblable à une fourrure toute douce. Pas farouches pour un sou, elles se laissent attraper dans les bras et caresser sans faire de manières.

Les poules soie étant sensibles au froid et les nôtres étant encore toutes jeunettes, Plume et Myrtille ont d'abord passé quelques jours dans une cage, à l'intérieur de la maison. Puis Tom et sa maman se sont attelés à un travail d'importance : entièrement réaménager un chenil que nous avions dans le jardin afin d'en faire un poulailler digne de ce nom. Tom y a mis tous ses muscles (il a détruit un muret de béton à la masse !), mais aussi tout son coeur pour agrémenter l'enclos, construisant  des perchoirs et une petite cabane en plus de la cabane perfectionnée installée par sa maman. Valentin a préféré jouer les observateurs et câliner les poulettes tandis que se préparait leur future demeure.

Désormais, nos petites protégées passent une partie de leur journée dans leur nouveau domaine, et sortent picorer l'herbe extérieure lorsque nous pouvons les surveiller. Notre jardin étant le point de ralliement de tous les chats du quartier, sans compter notre propre jeune chatte Ivoire, nous nous demandions comment les choses allaient se passer. En fait, très bien ! Chats et poules cohabitent en toute sérénité ! Plume et Myrtille picorent donc le sol à loisir, à la recherche d’insectes ou de jeunes pousses tendres... Puis le soir, elle réintègrent leur cage dans notre maison, et il en sera ainsi tant que les nuits ne seront pas vraiment clémentes.

Et si tout va bien, nous aurons en prime le plaisir d'avoir six oeufs frais par semaine, trois par poulette !

J'ai commencé ce blog début décembre avec l'enthousiasme qui préside aux débuts, et voici qu'en février je m'essouffle déjà ! Plus qu'un essoufflement, c'est d'ailleurs plutôt un certain embarras à partager ici ce qui me tient vraiment à coeur en ce moment...

Pendant les vacances de Noël, alors que mes trois filles étaient réunies autour de moi, nous avons beaucoup parlé, beaucoup partagé notre vision sur la façon dont va le monde, échangé autour de bouquins et d'articles que nous avions lus, discuté jusqu'à des heures indues de la nuit. Tout en nous entretenant de sujets graves et angoissants, nous avions chaud au coeur de nous sentir toutes les quatre au diapason. 

Pour ma fille et pour moi, tout est parti du constat que les médecins de France avaient eu (et ont toujours) l'interdiction de prescrire quoi que ce soit en traitement du covid, sous peine d'être menacés de radiation de l'Ordre. Une première dans notre pays ! Déjà surprenante au début de la pandémie, cette interdiction s'est faite de plus en plus incongrue alors que les preuves s'accumulaient en faveur de traitements efficaces et bien tolérés. A partir de là, nous avons cherché à comprendre le pourquoi de l'injonction "Prenez du Doliprane et restez chez vous". Nous avons tiré les fils un à un, recherché les sources fiables et recoupé les informations. Le doute n'était plus permis, il y avait une volonté délibérée de laisser les gens en arriver à des stades extrêmes du covid. Mais pourquoi ?

Puis sont apparus les "vaccins", et peu après les statistiques et publications alarmantes au sujet de leurs très graves effets secondaires, couplés à une faible efficacité. La réalité nous est apparue  accablante et nos yeux ont achevé de se dessiller.  Il existait vraiment une volonté mondiale d'imposer ces vaccins à tout prix, quitte à compromettre la santé de milions de personnes et même à en tuer plus de 25 000 rien qu'en Europe* ! Et encore ces chiffres officiels sont-ils probablement très sous-estimés. Là encore, pourquoi forcer la population à l'injection de ce "vaccin" expérimental qui a surtout fait la preuve de son extrême dangerosité ?

Loin de moi l'idée de chercher à vous convaincre de quoi que ce soit, je retrace simplement ici le début de mon cheminement personnel, qui a chamboulé profondément ma vie en très peu de temps. Ainsi, il m'est soudain difficile de venir relater ici de menus événénements et d'autres, alors que mon quotidien est habité par des perspectives entièrement nouvelles, dont je vous parlerai peut-être un jour, ou pas.

Même le titre du blog "Juste un blog de mamie" me semble aujourd'hui inadapté ! Je ressens le besoin de prendre un peu de recul, et surtout, je ne suis pas sûre du tout que ce cheminement hors des sentiers balisés intéresse mes quelques lecteurs.  Peut-être vos réactions m'éclaireront-elles à ce sujet ?

* Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves.

Je n'ai jamais aimé le mois de janvier, qui me fait l'effet d'un long tunnel maussade et froid. Après l'éclat et la convivialité des fêtes de fin d'année, j'ai l'impression de retomber lourdement dans un hiver qui n'en finit pas. Le matin, le réveil se fait toujours à la nuit noire, et le soir, dès six heures l'obscurité revient alors que les illuminations de décembre ont fait leur temps...

Ce dernier mois de janvier, en particulier, m'a paru interminable, surtout dans sa deuxième partie, assombrie par la vaccination de mes petits-fils. Pour finir, je suis tombée malade : tous les syptômes d'un covid, même si le test disait le contraire. Fort heureusement, grâce à un petit stock d'ivermectine, je me suis rétablie à la vitesse de l'éclair, mais la fatigue était là, pesante comme une eau noire.

Et puis hier, soudain, tandis que je reprenais le volant après quelques jours d'interruption, les premières fleurs me sont apparues à gauche et à droite du chemin, me remplissant d'allégresse ! Un furtif rayon de soleil faisait resplendir les pétales arrondis des cognassiers du Japon, tandis que les premières pervenches étoilaient un talus de leur bleu céleste. La région où j'habite désormais est véritablement bénie pour ces floraisons précoces ! C'est maintenant de jour en jour que vont refleurir les mimosas, les violettes, les premières jonquilles... puis tout va s'enchaîner très vite sans que j'en perde une miette. 

Chaque année je guette ces prémisses du printemps et mon coeur bondit de joie à chaque fleurette nouvelle. Même lorsque j'habitais Paris, je trouvais moyen de remarquer chaque minuscule éclosion, faisant mille détours pour aller constater si "mon" cerisier, "mon" forsythia ou "mon" groseillier à fleurs montraient des bourgeons prometteurs. Ici, tout est plus précoce et je suis aux premières loges pour assister à ce réveil de la nature qui me donne chaque année envie de croire en un bel avenir et en des jours meilleurs.

Valentin et Tom viennent d'avoir douze ans. Ils ont fêté leur anniversaire avec leur papa, et nous allons le fêter à nouveau ici samedi. En principe, cette date est toujours un jour de joie, car c'est beau de voir grandir et se développer harmonieusement ces deux-là, qui furent de si petits bébés prématurés. C'est réjouissant également de voir le plaisir qu'ils ont à souffler leurs bougies, à ouvrir leurs cadeaux et à recevoir leurs amis. Chaque anniversaire est un si grand événement quand on a moins de vingt ans !

Mais cette année, tout est différent... Cette année, une grande ombre plane sur cet anniversaire, car leur douze ans signifient qu'ils vont recevoir la thérapie génique expérimentale contre le covid, oui c'est bien de ça dont il s'agit... une thérapie qui n'a aucune raison d'être dans cette tranche d'âge, où les formes graves du covid n'existent pas... un produit expérimental hâtivement mis sur le marché, dont personne ne peut rien savoir des effets à long terme, et dont les effets immédiats sont catastrophiques, avec entre autres des myocardites et péricardites qui touchent en particulier les jeunes garçons.

Cette année, j'ai le coeur triste et inquiet, doublement inquiet, d'abord pour mes petits-enfants dont la santé éclatante pourrait être durablement endommagée par ce "vaccin", ensuite pour ma fille, qui ne dort plus tant elle redoute l'approche du jour J (fixé au 21 janvier). Bien sûr, nous ferons taire toutes ces angoisses samedi et nous fêterons nos jeunes adolescents dans la gaité, avec deux gâteaux, chacun le sien... Et moi, dans le secret de mon coeur, je vais oser implorer le ciel très fort pour que mes petits-fils, comme tant de leurs camarades, attrapent le petit rhume omicron, qui leur assurerait six mois de répit.

Je suis une grande passionnée de ballet classique. Mes parents m'ont conduite pour la première fois à l'Opéra lorsque j'avais huit ou neuf ans et je suis tombée instantanément en amour avec la danse aussi bien qu'avec l'immense vaisseau de l'Opéra Garnier. Depuis, j'y suis allée d'innombrables fois, avec ma fille, avec ma mère, avec mes amis, avec des enfant de ma famille... mais le plus souvent seule, parfois aux premières loges, parfois au poulailler quand mon porte-monnaie ne me permettait pas plus. Une vraie passion !

Ma petit-fille de coeur, Juliette, s'est elle aussi prise très tôt d'amour pour la danse classique. Elle a suivi des cours d'éveil pendant trois ans et cette année, à huit ans, elle est élève du conservatoire de son arrondissement. Je ne sais pas si elle persévèrera, mais pour le moment cela me rejouit beaucoup d'avoir cette connivence avec elle. Aussi, lorsqu'elle est venue ici pendant les vacances de Noël, lui avais-je préparé un petit diaporama avec des cadeaux à choisir, tous sur le thème de la danse !

"Tous, je les veux tous !" s'est-elle écriée à la dernière page, avant de repasser le diaporama en boucle, puisqu'il fallait bien faire un choix...  Pour finir elle m'a demandé de lui offrir un tutu long blanc, dans lequel elle sera ravissante. Mais le cadeau que j'aurais vraiment voulu lui offrir, c'est de lui faire découvrir l'Opéra Garnier et ses petits rats lors de leurs démonstrations annuelles en décembre. Deux fois, j'ai pris des places, deux fois le spectacle a été annulé pour cause de grève ou de covid... Et cette année, où les démonstrations ont eu lieu, je n'habite plus Paris !

C'est l'un des mes regrets par rapport à ma nouvelle vie dans le sud-ouest : je vois désormais Tom et Valentin au quotidien, mais je me suis éloignée de Juliette. Pendant son séjour ici, elle m'a dit : "Pourquoi tu es partie de Paris, Mamie ?"... ce qui m'a un peu fendu le coeur...

En ce moment, puisque j'habite temporaitement chez ma fille, je la décharge presque entièrement des courses et de la cuisine. Cette tâche me tient à coeur car mes petits-fils sont en pleine croissance et il me semble primordial de leur fournir une alimentation saine. Heureusement, la cantine de leur collège est excellente. Il y mangent de bon coeur, ce qui est un grand progrès par rapport à l'école primaire, où Tom ne se nourrissait parfois que de pain...

Pour nous tous, je fais donc attention à varier et équilibrer nos repas, et aussi à suivre les préceptes d'une "alimentation anti-covid", que j'ai indiqués dans mon billet précédent. Ajoutez à cela que je cherche à acheter le plus souvent local et de saison, et que Tom conserve des goûts enfantins et renâcle devant toute nouveauté. Bref, établir les menus est un peu casse-tête ! Chaque semaine, je passe un certain temps à jongler avec légumineuses, poissons gras, légumes et aliments fermentés, tout en essayant de concevoir des repas qui régaleront tout le monde. Ma propre grand-mère, qui dans mon enfance nous mitonnait souvent de bons petits plats, ne se posait certes pas autant de questions que moi et utilisait viande, beurre et sucre en toute bonne conscience...

Et vous ? Etes-vous régulièrement à court d'inspiration comme moi ? Dans ce cas, peut-être seriez-vous intéressé(e) par mes menus... à adapter bien sûr selon vos propres goûts et habitudes alimentaires.

Voici donc le menu de la semaine en cours. Il s'agit des repas du soir et du week-end, plus le déjeuner du vendredi midi, que ma fille prend à la maison (les autres déjeuners sont souvent composés de restes qu'elle emporte sur son lieu de travail et que je mange ici).

 Dites-moi si mes menus peuvent être de quelque utilité pour vous.  Et si vous voulez une recette, n'hésitez pas à me la demander !

PS : les aliments fermentés sont un vrai casse-tête, mais ma fille nous prépare du kéfir que nous buvons à petite dose tous les soirs. Comme mon petit-fils Tom, je fais la grimace, mais je l'avale et je dois dire que je m'en porte très bien.

Ce fichu covid a été pour moi l'occasion de me pencher sur tout ce qui pouvait booster nos défenses naturelles et nous aider à combattre les virus, y compris le SARS-cov 2.

Par éducation, je suis attachée aux vertus de l'alimentation. Dans mon enfance et ma jeunesse, mon père, qui était chercheur, imposait quelques grandes règles à la maison : deux légumes et un fruit à chaque repas, pas de beurre cuit mais cuisine à l'huile, une large consommation de poisson, chaque jour 3 amandes de noyaux d'abricots, censées avoir des vertus anti-cancéreuses. 

Adulte, j'ai renoncé aux amandes de noyaux d'abricots (combien de ces durs noyaux ma mère et moi  avons-nous cassés au fil des années !). Pour le reste, j'ai plus ou moins gardé ces principes. C'est donc tout naturellement que j'ai cherché, et trouvé, quelques recommandations pour une "alimentation anti-covid" :

• Un apport important d'oméga 3 (poissons gras 2 fois/semaine, huile de colza, consommation de noix et autres fruits à coque).
• Légumineuses au moins 2 fois/semaine, accompagnées si possible de céréales complètes.
• Légumes et fruit variés en abondance, en particulier les suivants, qui ont des vertus anti-covid intéressantes (parce que riches en zinc ou favorisant la production de glutathion) : crucifères (choux, brocolis, navets et radis), laitue, haricots verts, patate douce, épinards, champignons, asperges, avocat, framboises, noix, noix du brésil, noix de cajou, cacahuètes, graines de sésame.
• Peu de viande, en particulier de viande rouge, et pas trop de produits laitiers à base de lait de vache (parfait pour la planète !).
• Pas trop de sucres rapides (rassurez-vous, on ne prive pas les enfants ! Et d'ailleurs nous aussi, les adultes, nous nous autorisons quand même quelques gourmandises ici et là !!!).
• Un peu d'aliments fermentés chaque jour : boissons fermentées (kéfir), condiments en saumure (olives, cornichons), légumes fermentés, produits à base de soja fermenté (sauce soja, tempeh, miso).

Ensuite, il ne reste plus qu'à combiner tout cela en menus appétissants, ce qui fera l'objet de mon prochain billet...

Aujourd'hui, la rentrée, après le tohu-bohu et le scintillement des fêtes.  2021 s'en est allée et 2022 a pointé le bout de son nez. Que nous réserve cette nouvelle année ?  Verrons-nous la fin de cette "crise sanitaire", qui est, je le crois, une crise bien plus profonde encore ? Verrons-nous enfin se réconcilier les familles et les amis, divisés par un vaccin qui pour finir fait surtout la preuve de son inefficacité ? Allons-nous emprunter des routes nouvelles et découvrir de jolies surprises au détour du chemin ?

Au début d'une nouvelle année, j'ai toujours envie d'avoir foi en l'avenir. Cette fois-ci, c'est juste un peu plus difficile que d'habitude, mais je refuse de céder au pessimisme. 2022 sera ce que nous en ferons, à nous de nous retrousser les manches et d'oeuvrer pour plus de partage, plus d'unité, plus de chaleur humaine !

Chers amis lecteurs, je vous souhaite de jolies bulles d'amour et de tendresse, les douceurs de l'amitié, de l'harmonie dans vos familles et une santé au top, car c'est la base de tout le reste !

Vive 2022 !

Alors que j'aurais voulu être mère de famille nombreuse, je n'ai eu qu'un enfant par la chair, ce qui est déjà un magnifique cadeau. Cependant, la vie a mis sur mon chemin d'autres enfants qui sont spontanément venus vers moi, avec lesquels j'ai créé des liens forts. Certains de ces liens se sont estompés avec le temps, mais d'autres durent encore. C'est ainsi que j'ai une fille de chair et deux filles de coeur, que j'appelle mes "secondes filles".  J'ai connu l'une lorsqu'elle était au CP, et l'autre lorsqu'elle était au collège. Ma seconde fille n°1 (celle que je connais depuis le plus longtemps) m'a à son tour donné une "petite-fille de coeur", ma petite Juliette de huit ans.

Grande joie pour moi, Juliette et sa maman viennent passer quelques jours sous notre toit, j'irai les chercher à la gare en début d'après-midi ! Hier, nous avons cru que tout serait annulé, car la vraie mamie de Juliette a eu un malaise qui l'a conduite à l'hôpital. Rien de grave heureusement, elle est sortie hier soir et se porte bien ce matin.

Pendant quatre jours, je vais donc avoir le plaisir de jouer avec Juliette, de la gâter, de lui lire des histoires et d'avoir avec sa maman de longues discussions au coin du feu. Vraiment, je m'en fais une fête ! Et jeudi soir, nous sommes toutes invitées pour un petit réveillon avant l'heure chez ma "seconde seconde fille", qui est venue elle-aussi s'établir dans les Landes, quelques mois après moi. Mes trois filles seront ainsi réunies autour de moi, pour mon plus grand bonheur ! Que demander de mieux !

Le 24 décembre, vers lequel nous cheminions à petits pas depuis le premier dimanche de l'Avent, est enfin arrivé ! Ce soir, Noël !

Depuis une semaine déjà, Valentin et Tom piaffent d'impatience devant la montagne de paquets amoncelés sous le sapin. Ce soir, enfin, ils auront le plaisir de les ouvrir et, même s'ils ont choisi à l'avance la plupart de leurs cadeaux et que la surprise ne sera donc pas très grande, ils n'en peuvent plus d'attendre ! Et puis il y a quelques petits paquets en plus, dont le format ne correspond à rien de ce qu'ils ont demandé. Dix fois, vingt fois, ils sont allés les soupeser en essayant de deviner ce qu'il pouvait y avoir dedans...

Oui, Noël sera une belle fête chez nous, une fête préparée avec le coeur, et moi je savourerai ma chance d'être avec ma petite famille, ce qui n'a pas toujours été le cas. Lorsque j'habitais Paris, il nous est arrivé plusieurs fois de ne pas nous retrouver pour les fêtes, pour cause de maladie, de deuil trop récent ou d'une grève malencontreuse de la SNCF. J'espère juste que des défections de personnel à la SNCF ne vont pas empêcher Juliette, ma petite-fille de coeur, et sa maman d'arriver le 27 décembre. Avec les confinements successifs et divers autres empêchements, il y a si longtemps que je ne les ai pas vues !

Et vous, cher lecteur ? Vous préparez-vous aussi à un beau Noël en famille ? J'espère qu'aucun de vous ne sera seul ce soir et demain. Si c'était le cas, sachez que la nuit de Noël, lorsque je place l'enfant Jésus dans la crèche, j'ai une pensée pour les personnes isolées et que je leur envoie des ondes affectueuses, en espérant qu'elles atteignent leur but et les réchauffent un peu.

A toutes et à tous, je vous souhaite un beau et bon Noël ! Que la lumière de cette nuit sainte nous éclaire durablement dans cette période terrible que le monde traverse !